« Bon, y a plus qu’à croiser les doigts ! »

 » Bon, y a plus qu’à croiser les doigts !  » 🤞

Bien sûr, on peut s’en remettre à la chance, on peut se détendre dans son canapé (tant qu’on y est), ou célébrer 🍾 (mieux encore) ou aussi aller chercher les grigris, les amulettes, lire l’avenir dans une boule de cristal.

Mais non, quand on vient de déposer une réponse à un appel d’offres, il y a mieux à faire. Quand on vient de déposer une réponse à un appel d’offres, il faut être parano 😲 .

Pourquoi ? En particulier
🗨 Parce que l’affaire n’est pas gagnée, l’oral est devant nous
🗨 Parce que le client lit, compare, analyse et tout peut arriver
🗨 Parce qu’il est ouvert à toutes sortes d’influence et d’abord à celle de nos concurrents

Très bien, me direz-vous, mais que faire ?
☎ Multiplier les occasions d’échange
☎ Tester la compréhension de notre client : essayer de déterminer ce qui a convaincu et ce sur quoi il faut encore convaincre ou ce qu’il faut ajuster
☎ Evaluer la perception relative de notre offre vs celles de vos concurrents

Je sais, c’est difficile, sans aucun doute, mais gardons en tête que :

🥇 Qui ne tente rien n’a rien : notre seul risque est de prendre un vent (pas grave)
🥇 Tous les prétextes sont bons (ou presque) pour passer un coup de fil (vérifier que le document est bien arrivé, repréciser le calendrier, …)
🥇 Ca serait bête d’apprendre le vendredi que l’oral est mardi à 08h30 à Grenoble ou à Toulon
🥇 Nos concurrents (surtout ceux formés par Shipley France 😉 le font

Gagner est à ce prix.

A bon entendeur !

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